« On voulait tous voir d’adorables animaux se flanquer de sacrées rouste. » Mark Osborne, réalisateur.

« On voulait faire le plus beau film de kung-fu de tous les temps. Je suis ravi qu’au final ce soit devenu une comédie une comédie avec une touche de drame et de poésie. On a conservé une très forte direction artistique tout en racontant une histoire comique à propos d’un panda qui n’est pas dans son élément. Tous ceux qui ont travaillé dessus en sont très fiers, et cette expérience leur sert encore aujourd’hui. » Raymond Zibach, chef décorateur.

« Raymond Zibach, notre chef décorateur, a apporté une vision très forte au film.il n’a pas peur de faire les choses différemment. Le ciel peut être orange et l’art parfois abstrait, mais il est aussi ancré dans la réalité. On a vraiment attaché de l’importance à nos recherches et on a fait appel à des tas d’expert pendant tout le tournage. Même si ce monde montre un félin en pyjama, on voulait respecter la culture de l’histoire de la Chine, et ça nous a été bénéfique en fin de compte. Il aurait été plus facile de montrer une Chine plus simple, plus cartoon, mais on voulait de vraies émotions et de vrais enjeux en plus de l’aspect comique. » Melissa Cobb, productrice

« Les gens se sont vraiment identifiés à Po, le héros du film. Il a en lui cette insécurité qui ne le quitte pas et je crois qu’il la gardera dans tous les films que nous ferons sur lui. Le contexte est différent (il vit dans la Chine ancienne et il affronte des animaux), mais il a cette vulnérabilité typiquement humaine. Même quand il s’envoie dans les airs avec une fusée et qu’il s’écrase par terre comme Vil Coyote, il garde des émotions profondément humaines. Physiquement, c’est dingue, mais les émotions sont réelles. » Melissa Cobb, productrice